Le mercredi 26 octobre, participez au lancement du dispositif Repère, Réseau d’Evaluation Précoce Et Réhabilitation. Le projet “Repère” vise la création d’un réseau permettant de faciliter le repérage des troubles psychiques chez les jeunes par la déstigmatisation de ces derniers.
Un évènement de lancement le 26 octobre
Le dispositif Repère sera lancé le 26 octobre à 20h, à l’amphithéâtre Chevalier de l’hôpital Foch, à Suresne.
Après une introduction sur les enjeux de l’intervention précoce en santé mentale et un bref retour sur la genèse du projet “Repère” seront présentés les signes qui doivent alerter, les facteurs de protection et le réseau de professionnels à qui l’on peut s’adresser en cas d’inquiétude par rapport à la santé mentale de quelqu’un.
Programme
- Daniel Jancourt, Directeur de l’EPS Erasme : Introduction (5mn)
- Laurent Lecardeur, expert en santé mentale des jeunes : Enjeux de l’intervention précoce en santé mentale (10mn)
- Joséphine Caubel, psychiatre et responsable du programme Repère : Genèse du projet Repère (10 mn)
- Diane Fabre et IJsbrand Visser, psychiatres : Présentation des vidéos Repère et des dispositifs FIPP, UNIDE, FACT (25mn)
- Discussion avec la salle (45mn)
Informations pratiques :
26 octobre à 20h
Amphithéâtre Chevalier de l’hôpital Foch,44 rue Desbassyns de Richemont, 92150 Suresne
Inscription conseillée : scalani chez ville-suresne.fr / 0141181622
Repère
"Repère", le Réseau d’évaluation précoce et de réhabilitation est un dispositif sectoriel qui permet de repérer précocement et d’accompagner rapidement vers les soins des jeunes adultes présentant des troubles psychiques émergents. Repère s’adresse aux jeunes adultes de 18 à 30 ans et, le cas échéant, ayant moins de trois ans de diagnostic de trouble psychique établi. Repère forme et coordonne un réseau de partenaires de première ligne, en contact direct avec ces jeunes afin de détecter ceux qui présenteraient des premiers signes de souffrance psychique. La philosophie de Repère est que l’on peut être vulnérable au développement de troubles psychiques, mais cela n’est pas une fatalité : chacun d’entre nous peut développer des compétences pour faire face à ces risques.